Dimanche 5 décembre 2010 à 15:52

Il faut que j'arrête de faire des promesses que je ne peux pas tenir moi... Héhé, oui, un article par jour, quand j'ai plein de cours à réviser et qu'en plus mon chéri me fait la surprise de venir passer quelques jours avec moi, c'est totalement ambitieux !

Bref, d'ailleurs, techniquement, je ne vais pas m'étendre dans un looooonnnng article super recherché, car j'n'ai pas le temps. Je vais même faire pire, puisque je vais simplement effectuer le pâle copié/collé d'un article que j'ai trouvé sur un autre blog [quelle salope !!] ; oui, mais cet article de cet autre blog est lui aussi un article copié/collé [l'arroseur arrosé alors ? Non, pas vraiment...].
C'est en fait une page sur facebook, qui explique concrètement et de la manière la plus simple possible, la façon dont sont traités les dauphins, et plus globalement les cétacés, dans les parcs aquatiques... C'est un peu les coulisses de Flipper ou Sauvez Willy [au passage, je vous invite toujours à regarder The Cove].
Mais tout d'abord, les sources ! [oui, je fais au moins ça dans les règles de l'art..!]
La page facebook : clic.
Le blog en question [sur les dauphins] : clic.
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Elle s’intitule "Merci d’y réfléchir à deux fois avant de vous rendre à SeaWorld ou dans d’autres zoos ou aquariums qui gardent des dauphins et cétacés captifs… "

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Est-ce cool d’aller voir les dauphins dans les parcs ?
Prenez en compte ces faits :


53% de ces dauphins qui survivent aux captures meurent dans les 90 jours.

La durée de vie moyenne d’un dauphin à l’état sauvage est de 45 ans. Mais la moitié de tous les dauphins capturés meurent dans les 2 premières année de captivité. Les survivants restent en vie pendant une moyenne de seulement 5 ans en captivité.

Tous les 7 ans, la moitié de tous les dauphins en captivité meurent du choc de de leur capture, de pneumonie, de maladie intestinale, d’ulcères, d’empoisonnement au chlore, et d’autres maladies liées au stress. Pour l’industrie du dauphin en captivité, ces faits sont acceptés comme des dépenses d’exploitation courantes.

Dans de nombreux bassins, l’eau est contaminée par des produits chimiques, mais aussi par des bactéries, causant de nombreux problèmes de santé aux dauphins, tels que la cécité.

Quand un bébé dauphin nait en captivité, la nouvelle est souvent gardée secrète jusqu’au moment où le petit montre des signes de vie. Bien que les mammifères marins aliment leurs petits en captivité, le taux de naissance n’est pas aussi convaincant qu’à l’état sauvage, avec un taux très élevé de mortalité infantile.

Les dauphins dans l’océan peuvent nager de 60 à 160 kms par jour. Dans une piscine, ils ne font que tourner en rond.

Beaucoup de parcs aquatiques soumettent leurs mammifères à la faim pour qu’ils assurent le spectacle pour obtenir à manger. Sauter à travers des cerceaux, marcher sur leur nageoires, et jouer au ballon sont des comportements appris par le dressage et ne se produisent pas à l’état sauvage.

Les animaux confinés qui s’automutilent (en se cognant la tête contre les murs ) créent des stimuli que leur environnement ne leur apporte pas. Les dauphins en captivité tendent à développer des comportements stéréotypes (la nage en cercle répétitive, les yeux fermés et en silence) à cause de l’ennui et du confinement. C’est l’équivalent de ce que font les primates, lions, tigres et ours confinés, quand ils vont et viennent en tournant sans s’arrêter, dans leur cage.

Les dauphins sont des prédateurs des poissons et passent jusqu’ à la moitié de leur temps à l’état sauvage à chasser pour se nourrir. Leur apporter des poissons morts se traduit par moins d’exercices et à un manque de stimulation mentale, ce qui cause leur ennui.

Quand ils sont attrapés ensemble, les mâles deviennent souvent agités et dominateurs. Cela crée des ordres hiérarchiques (inconnus à l’état sauvage) et des attaques sans provocation sur les autres dauphins et leurs dresseurs. Dans l’océan, bien que les combats ne soient pas inconnus,les dauphins sauvages ont au moins la possibilité de s’échapper.

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Ce qu’ils voudraient vous faire croire :

Les delphinariums proclament que leur mission est de protéger les dauphins sauvages grâce à la recherche et l’éducation. Ce sont de bien jolis mots, mais les faits parlent plus clairement. Si les dauphins étaient si heureux en captivité, comment se fait-il qu’ils meurent si rapidement ? Pourquoi garder le secret sur leur taux de mortalité ? Il y aurait beaucoup moins de spectateurs s’ils savaient que les dauphins meurent pour les amuser. Peut être que si les taux de mortalité enregistrés étaient affichés à l’entrée, personne n’achèterait de ticket.

Qu’en est-il de l’éducation ?


La plupart des delphinariums n’ont pas fait grand chose, voire rien du tout concernant l’éducation au sujet des dauphins. Jacques Cousteau croit que les dauphins en captivité sont conditionnés et déformés et qu’ils ont très peu de ressemblance avec les dauphins en liberté en mer. C’est comme si on étudiait la psychologie de l’homme seulement en prison, ce qui bien sûr, mène à de mauvaises interprétations et à des généralisations absurdes. Plus les gens en apprennent sur les cétacés à l’état sauvage, plus ils ressentent de pitié pour les dauphins captifs. Comme la télévision, les ordinateurs et la réalité virtuelle deviennent de meilleurs outils d’éducation, la justification pour les garder captifs tend à disparaitre.

Et la recherche?

On bande les yeux des dauphins pour étudier l’efficacité de leur système d’écholocation. On met des sondes dans leurs larynx et leurs narines afin d’examiner la production des sons qu’ils émettent. On les entraine à pousser des boutons et des leviers, à choisir entre un matériel et une couleur, on leur enseigne à parler. Nous les clampons, faisons des trous dans leur peau, les disséquons. Pourquoi ? Les dauphins ne sont pas là pour servir de sujet aux expérimentations mortifiantes réalisées par l’homme. Les dauphins souffrent tout tant que les humains. La seule façon dont les scientifiques devraient les étudier, c’est en nageant avec eux à l’état sauvage. Aucun argument ne peut justifier l’enfermement de ces créatures extrêmement intelligentes. Les dauphins sont des victimes innocentes d’un enfer que nous avons créé pour eux.

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La bonne nouvelle…

Heureusement pour les dauphins, de plus en plus de gens se sentent concernés par la souffrance des cétacés, et se sentent mal à l’aise dans les parcs aquatiques. Les citoyens osent maintenant crier haut et fort que les dauphins et baleines appartiennent à l’océan. C’est le seul espoir. Imaginez ceci : un parc qui propose un spectacle mais que où personne ne va. Les propriétaires le fermeraient bientôt. Il n’y aurait pas de spectacles de dauphins si personne ne payait pour aller les voir. Les dauphins ont évolué pendant plus de 50 millions d’années pour vivre avec succès dans leur habitat naturel !

Par "Dolphin Defender" sur Facebook.
Traduction par Laurence.
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Et au passage je vous invite donc à allé voir le blog sur lequel j'ai pris cet article, vraiment bien fait, qui informe simplement et justement...
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Lundi 23 août 2010 à 17:15

Dans la suite des choses que j'ai fais durant mes vacances, je tiens à vous présenter la bambouseraie de Prafrance, à Anduze [toujours dans les Cévennes, oui, la Bretagne reviendra plus tard...].

La bambouseraie, késako ?

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Cet espace consacré aux végétaux et à la spiritualité qu'ils inspirent existe depuis 1856, grâce à Eugène Mazel. Ce passionné d'horticulteur plantait des espèces exotiques sur les lieux qu'on traverse encore aujourd'hui, à l'époque, grâce à un héritage, qu'il consacra uniquement à la botanique et à la science. Son but était alors d'identifier les espèces capables de s'acclimater dans la région.
Aujourd'hui, de tels agissements sont fortement déconseillés, voire proscris, du fait des exemples de pollution biologique, concurrence, etc. qu'on a pu observer avec de nombreux animaux et végétaux introduits dans des milieux où ils ne connaissent aucune limite.

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Ainsi, au fur et à mesure des promenades, on pourrait se croire tant au Laos qu'au Japon.

J'ai été cependant surprise de voir si peu d'animaux sauvages dans un milieu aussi fleuri, pour cause, je n'ai vu qu'un bourdon, un serpent et quelques papillons, mais vraiment pas beaucoup... Alors je soupçonne les gérants du parc de ne pas avoir une gestion très biologique de celui-ci, m'enfin je vais me taire au risque d'être médisante.

http://terre-a-terre.cowblog.fr/images/IMG1136.jpgLa bambouseraie, y'a quand même pas à dire, c'est un endroit magnifique, à visiter hors vacances ou le samedi, ce que j'ai fais, car c'est là où il y a le moins de monde. J'y suis restée près de 3h, seule avec mon appareil photo, à parcourir les allées du parc.
Et je ne pense pas que c'est quelque chose à visiter en groupe. Seul, c'est bien. En couple aussi.
Au-delà, je pense que ça perd de son charme, car c'est un lieu qui appelle à la réflexion et à la spiritualité, au repos de l'esprit et à l'éveil des sens. C'est l'endroit idéal pour les fortes chaleurs d'été que la région connait, se poser à l'ombre des bambous, bouquiner pendant tout l'aprem. Après tout, le parc ne ferme qu'à 19h !
C'est également le bon endroit pour réfléchir sur soi-même, sur notre position dans l'espace, dans la vie...

Bref, je crois que pour vraiment apprécier ce lieu, il faut voir plus qu'un enchainement de couleurs et de parfums, il faut savoir le voir autrement qu'avec ses yeux, et le laisser pénétrer dans l'âme...

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Dimanche 22 août 2010 à 11:03

Voilà que j'entame ma dernière semaine de vacances, je rentre dans la grisaille parisienne lundi prochain, et je reprends les cours mercredi.
Mais tout  cela, non, n'y pensons pas !
Me voilà dans l'immédiat au bord des Cévennes, et je me plais à faire des rando aux paysages juste magnifiques...

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[Je ne sais pas si j'ai déjà mis une photo de moi, je ne crois pas, maintenant vous me connaissez de dos !]

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Mardi 27 avril 2010 à 19:04

Il y a quelques semaines, je suis partie en week-end d'écovolontariat avec l'association A Pas de Loups, au centre de soin pour animaux sauvages de La Dame Blanche situé à Saint Julien de Mailloc, près de Lisieux.

Mais tout d'abord, A Pas de Loups, kézako ?
Cette association s'est créée il y a plusieurs années, lors de la réapparition du loup dans notre bonne vieille France qui l'avait auparavant exterminé... Le but était alors de proposer de l'aide aux bergers etc. afin de rendre possible la cohabitation (je vous le fais en synthétique). Au fur et à mesure des années, A Pas de Loups s'est développé pour devenir un "organisateur de séjour d'écovolontariat". En gros, A Pas de Loups créé des partenariats avec plusieurs structures, puis envoie ses bénévoles dans ses structures. Partir avec A Pas de Loups est surtout une garantie, surtout quand on part à l'étranger, car tous les écovolontariats ne sont pas super bien ficelés. D'autant que ça permet de faire des voyages bien moins chères qu'avec certains organismes.
A Pas de Loups propose donc des missions en France, en Europe, mais bien plus loin encore, pour des thèmes aussi divers que variés que je vous laisserai découvrir sur leur site.

Ce qui nous amène à La Dame Blanche...
Ils n'ont pas de site propre mais voilà une page sur eux... cliquez !
La Dame Blanche est un centre de soin tenu par Gérard Bertran depuis 1986.
La Dame Blanche, non, ça n'est pas la légende de la morte qui (...) mais c'est le p'tit nom qu'on a attribué à la chouette effraie, qui, comme son nom l'indique, effrayait beaucoup les villageois dés le Moyen-Âge. Malheureusement, les croyances sont tenaces et elle est encore victime aujourd'hui de sa mauvaise réputation, si bien que les habitants actuels demandent à ce que les nids soient enlevés, sans parler des récents cas de cloutages de chouettes sur les portes pour "conjurer le mauvais sort". Il faut dire, son chant à tendance à donner la chair de poule, surtout en pleine nuit après un bon film d'horreur haha ! (Je vous laisse le découvrir ici ou ici à effraie des clochers). Ainsi, la chouette (effraie) est l'animal le plus amené au centre de soin puisqu'elle niche près des habitations, dans les vieilles granges, etc. (d'où l'effraie des clochers). Pourtant, cet animal est magnifique...

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Pendant la période de nidification, les membres de la Dame Blanche sont souvent appelés pour déloger les habitants du nid et les mettre plus loin, ou les emmener carrément au centre le temps de l'envol.
D'autres rapaces sont également amenés au centre, des chouettes (effraie, hulotte, chevêche, ...) mais également des faucons, milans, éperviers, ...
Là ne demeure pourtant pas la particularité de ce centre, car oui, ce centre a bien une particularité par rapport à de nombreux centre de soin pour animaux sauvages en France. En effet, ce centre est l'un des 6 lieu d'accueil ayant un permis de capacité pour soigner des mammifères tels les cerfs, chevreuils, sangliers, blaireaux, renards et j'en passe.

Au total, chaque année, c'est 800 animaux qui sont amenés au centre, mais seulement la moitié seront sauvés. Durant la pleine saison, c'est-à-dire mai-juin, le centre se voit accueillir jusqu'à 4-5 animaux par jours.


Là-bas, il y a plusieurs catégories d'animaux :
- Les animaux sauvages qui seront relâchés.

- Les animaux sauvages qui ne seront pas relâchés car trop handicapés. Ces animaux sont alors gardés, surtout quand ils sont rares, et transférés dans d'autres centres spécialisés pour la reproduction. Le but étant alors de produire des générations sauvages qui seront ensuite relâchées dans leur milieu naturel.

- Les animaux sauvages mais imprégnés. Certains animaux, comme les cerfs élaphes, s'attachent très vite à l'Homme. Il suffit qu'un cerf reste 8 jours avec un Homme pour qu'il soit imprégné à vie. C'est ainsi que là-bas, il y a Bibiche et Kenzo, qui ont été recueilli par des gens lorsqu'ils étaient bébés, mais ne sachant qu'en faire lorsqu'ils grandirent, ils les amenèrent là-bas. Idem pour les renards, qui sont deux là-bas. Se sont d'ailleurs de vrais chiens !
Evidemment, n'allez pas vous dire "chouette, le prochain que je trouve, je le garde !" Il ne faut pas ramasser d'animaux sauvages !!
Autant de cerfs, de chevreuils ou d'oisillons de différentes espèces sont ramassés par des gens qui les croient abandonnés alors que c'est loin d'être le cas. Un animal sauvage qui s'attache à l'Homme est un animal mort dans la nature. Et ça n'est pas une vie pour ces animaux de restés enfermés dans des cages ou volières, aussi spacieuses puissent-elles être. (Pour la petite histoire, un cerf élaphe, pendant la période du brame, c'est introduit dans l'enclos de Bibiche et Kenzo. La femelle est probablement saillie, et ils ne savent pas encore comment ils vont gérer la venue de ce petit, qui sera probablement à son tour imprégné par l'Homme..!)
Donc ça, c'est fait...

Venons en maintenant au vif du sujet... les bénévoles !
Tout au long de l'année, le centre accueille des bénévoles. Il est ainsi possible d'aborder toutes les thématiques en rapport avec le soin aux animaux.  Vous pouvez ainsi les nourrir, rendre visite aux animaux imprégnés, probablement même assister aux consultations...
Les bénévoles sont indispensables au bon fonctionnement du centre, qui est, ne l'oublions pas, une association qui se base donc sur les dons et sur l'argent que rapporte le parc animalier des animaux de la ferme. Je ne m'étendrai pas sur ce point, puisqu'il tend à devenir un parc animalier d'animaux "sauvages" dés que le certification de présentation nécessaire sera obtenu.

Il y a également diverses missions d'entretiens à effectuer. Ainsi, moi, je nettoyais avec un groupe l'enclos des cerfs, bois municipal que la mairie prêtait aux personnes défavorisés. Des grillages y étaient donc emmêlés aux ronces et ensevelis sous la terre.
Pendant ce temps, d'autres coupaient les ongles des moutons, d'autres enlevaient le guis des pommiers, des clôtures étaient à refaire, ...

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Vendredi 19 septembre 2008 à 0:41

Séjour de 10 jours à l'Ile de Ré avant la reprise, on en a alors profité, mon amie et moi, à aller faire un tour au Zoodyssée, parc animalier dont j'avais déjà entendu parler avant, mais se sont les infos qui nous ont décidé à y aller, puisque Zoodyssée est le premier parc animalier à répondre à l'ISO 14001, je voulais donc voir la différence entre lui et un autre...

Mais tout d'abord, la norme ISO 14001, késako... ? [Etant donné que théoriquement, je ne serai vous répondre que dans quelques mois, après l'avoir vu en cours, va falloir que j'aille me documenter pour pouvoir vous détailler un peu plus les grandes lignes...] Tout d'abord, ISO, parce que cette norme a été faite par l'organisation internationale de normalisation et 14000 car ces normes regroupent le management environnemental. En général, les normes ISO peuvent être adaptées à toute sorte de structure [entreprises, administration, assoc', ... de différentes tailles]. Ainsi, les normes ISO 14000 permettent à toute structure qui le souhaite d'améliorer les performances environnementales tout en garantissant une hausse des résultats. Il existe les normes ISO 14001, 04, 10, 11, 12, [...] ; mais c'est la 14001 qui reste la référence pour la certification.
Pour pouvoir y répondre, il faut réspecter 18 exigences réparties en 6 chapitres [
Les exigences générales (intentions de l'établissement en termes d'environnement), la politique environnementale (objectifs de l'entreprise), la planification (réalisation des actions planifiées pour satisfaire la politique environnementale), la mise en œuvre (surveillance de la fonctionnalité du Système de Management Environnemental), les contrôles et les actions correctives, la revue de direction].
Cependant, la critique qu'on peut apporter à cette norme, c'est quelle ne mentionne pas l'obligation au développement durable, à la non pollution et à la communication de ses résultats... c'est pour quoi je ne suis pas étonnée de resortir de ce parc un peu sur ma faim, puisqu'aucune communication par rapport à cette norme n'a été faite... donc je ne vous dirai rien de plus dessus !



En effet, on entre tout d'abord dans la partie expo, qui, en ce moment, vise à informer sur l'état de la planète grâce à l'appuie des photos de yann arthus bertrand. Puis dans une seconde pièce, qu'on a vite fait de passer, car toutes les voix se sont mis à parler en même temps, c'était un gros bordel et on pigeait que dalle... mais sur le principe, je pense que l'idée que je ne détaillerai pas ici était plutôt sympa !
On rentre donc dans le parc, et c'est tout de même avec déception qu'on a constaté la petitesse des enclos, ... entre le renard qui tourne en rond dans son enclos et les raton laveur qui s'entassent les uns contre les autres. Certes, ils ont tous un espace dans lequel ils peuvent se réfugier, en cas de stress trop intense, mais ça ne vaut pas leur liberté.
J'peux pas non plus dire que les employés soient super sympa, entre les gars de la maintenance qui te mattent en 3D et le mec qui leur donne la bouffe mais qu'à l'air à peine concerné parce que qu'il fait quand tu lui poses des questions... mouarf !

Conclusion : Tous les animaux qui y proviennent sont des animaux vivant à l'état naturel en Europe, ce qui est, je pense, mieux pour leur besoin vitaux.
Je pense que pour les pitits n'enfants, c'est un parc qui peut amener à une bonne sensibilisation à l'environnement et aux animaux, puisque y'a pas mal de jeux interactifs, mais à éviter quand on est un peu plus grand, un peu plus lucide, et un peu moins naïf.



MickynagO

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