terre-a-terre

Pour le reste, je reprends doucement l'activité de TaT, car oui, ça n'est pas parce que j'étais en exam que je n'ai pas fais pour autant quelques recherches dans mes pauses, et j'ai accumulé, ça et là, des pages, plein de pages, qui seront autant de futurs articles...

Mais pour l'instant, je tiens à vous parler de BLUE RAGE ! En fait, si vous êtes assidus dans la lecture du blog, vous vous souvenez peut-être sûrement d'un article parlant de la Sea Shepherd. Sinon, vous n'avez qu'à cliquer pour savoir de quoi je parle.


BLUE RAGE, c'est le nom de leur campagne en méditerranée, qui a lieu en ce moment même. Vous allez me dire, si vous suivez un peu l'actualité, que la campagne de thons, c'est fini. Oui, mais celle du braconnage, non ! Et la Sea Shepherd, c'est les braconniers qu'elle veut !!!
Ah, pourquoi je vous parle de thons ? Mais si... clic !

La campagne est assurée par le Steve Irwin (bateau), Paul Watson, le fondateur de Sea Sheperd, est évidemment à bord, avec Lamya, la présidente de Sea Shepher france, ainsi qu'avec tout un équipage de nationalités autant diverses que variées, et noyé dans tout ce flou, un journaliste français du Point, qui était d'ailleurs à la conférence que Watson avait tenu en Avril. Il lui avait alors demandé s'il prenait des journalistes à bord, après tout un tas de questions qui montraient bien qu'il n'y connaissait que dalle, aux thons et au reste, et je m'étais bien marrée... mais le fait est qu'il y est, à bord, et qu'il tient un journal, "A la Poursuite des Braconniers du Thon Rouge".
Ce que j'aime bien, finalement, dans ces écrits, c'est qu'il n'y croit pas ! Il a besoin de voir pour adhérer, et il n'hésite donc pas à critiquer, mais également à marquer le coup quand une action est réussie.
Si ça vous chante, vous pouvez donc suivre les aventures du Steve Irwin et de son équipage. Documentez vous également en parallèle, et il y a le site de la campagne en question, ici. Donnez vous l'occasion d'avoir plusieurs sons de cloche...

Dans l'actualité notoire de cette campagne, on peut ainsi féliciter l'équipe de la Sea Shepherd pour avoir réussi à libérer des centaines de thons rouges en coupant les filets d'une cage supposée illégale, le tout, et c'est là le plus important, dans les "eaux lybiennes", là où personne d'autre n'ose s'aventurer, par crainte de Kadhafi, et là où le braconnage bât son plein en raison de la sécurité que cette même personne leur apporte !
Ils ont tenté, deux jours plus tard, d'ouvrir la deuxième cage, mais cette fois, ils étaient attendus et les fusées de détresse de l'ennemi commençaient à se faire menaçantes !
 

La Sea Shepherd Conservation Society a été créé en 1977 par le capitaine Paul Watson, ancien co-fondateur de Green Peace, parti de celle-ci car il la jugeait trop passive.
L'objectif premier de cette organisation est la lutte contre la pêche des mammifères marins tels la baleine et les phoques dans un premier temps, puis les dauphins. Aujourd'hui, la Sea Shepherd se bat également contre la pêche des requins et des tortues des Ils Galapagos ainsi que contre la pêche aux thons.
Je ne vous ferai pas tout l'historique tant il est long, mais je vous invite à allé visiter au moins le site français...


Les moyens de cette organisation sont "simples". Actuellement, la Sea Shepherd possède deux navires : Le Steve Irwin et le Bob Barker ; l'Ady Gil, vaisseau ultrarapide d'interception, ayant été coulé par le Shonan Maru II, baleinier illégal de la flotte japonaise, durant la dernière campagne dans l'Antarctique. (En voici la vidéo et encore une autre d'un point de vue extérieur)

Avec ses bateaux, ils traquent les braconniers et la pêche illégale et les empêchent d'attraper un maximum de poissons/cétacés/mammifères en lançant des boules puantes sur les ponts de navires, rendant le travail impossible, en usant des jets d'eau ou encore de lumières lasers, mais également en fonçant tout bonnement dans "le tas".
Il faut cependant préciser que la Sea Shepherd agit toujours dans le sens de la loi. Aucune plainte n'a jamais été déposée contre eux, puisque de toute façon, ils se battent contre l'illégalité là où les gouvernements restent passifs faute de moyens ou de volontés. De même, la Sea Shepherd n'a jamais tué ni même blessé qui que se soit, aussi bien parmi les membres de l'organisation que parmi leurs adversaires.

Ainsi, la Sea Shepherd estime avoir sauvé près de 600 baleines lors de sa dernières campagne 2009-2010 de défense des baleines en Antarctique.



En mai, l'organisation débarque en Méditerrannée pour lutter contre la pêche illégale de thons... et j'ai hâte ! (Mais je vous parlerai de cet enjeu dans un prochain article)

Et pour finir, une vidéo rassemblant les 30 ans de combats de la Sea Shepherd :


 

Suite à la demande de Satine-Objective, et aussi parce que j'avais prévu de le faire, voilà un article sur la SPA, et plus particulièrement sur le "comment devenir bénévole".

Vous n'êtes pas sans savoir que la SPA est la société protectrice des animaux, qu'elle les recueille, les soigne, les nourrit, puis les rend accessible à l'adoption. Il y a une différence entre fourrière et SPA=refuge. Si votre animal est à la fourrière et qu'il n'est pas identifiable, en une semaine vous êtes sur de ne plus le revoir. Certaines fourrières ont des partenariat avec les refuges qui récupèrent les animaux recueillis avec des conditions plus ou moins établis. Personnellement, je suis bénévole à la SPA de Plaisir Sainte Appoline, qui est en partenariat avec une fourrière d'où elle récupère TOUS les animaux ramassés.
Pour devenir bénévole, rien de plus simple, il suffit de vous rendre à la SPA qui se trouve près de chez vous, de parler avec les gens, de prendre le dossier, de le remplir, et de vous éclater !
Cependant, il ne faut pas croire qu'être bénévole consiste seulement à caresser des chats et à promener des chiens. Les activités en temps que bénévole sont très variées... Certes, vous pouvez promener les animaux, les laver [ça, j'y vais mercredi !], les brosser, jouer avec eux, les câlinés, etc. Mais vous pouvez aussi nettoyer les courettes, les gamelles, les litières, ... Et pour les plus chanceux, vous pouvez vous mettre en famille d'accueil pour chiens/chats ou autres. Pourquoi chanceux ? Parce que moi avec l'asociable qui me sert de chatte ça risque pas de se faire ! Vous pouvez aussi suivre l'évolution des animaux qui quittent la SPA en devenant enquêteur, ou même voir en VIP les nouveaux arrivants en s'occupant des transferts.
En étant bénévole, il y a aussi toute une préparation qui se fait pour le refuge sans pour autant avoir de contact avec les animaux : préparer les journées portes ouvertes [création d'affiche, collecte alimentaire+matériel <-- Moi l'a fait ça samedi, collecte de lots, ...], s'occuper du site, tenir un stand, être à l'accueil, ...


En parlant avec plusieurs personnes, j'me suis rendue compte qu'il y avait beaucoup d'apprioris sur la SPA.
- Ils ne donnent pas à bouffer aux chiens, ceux-ci sont tous maigres ! Je peux pourtant vous assurer que les gamelles sont pleines, mais les chiens de la SPA sont souvent stressés, leur appétance est parfois faible, et la nourriture qu'ils ingèrent est faiblement assimilée par leur organisme. Mettez vous deux secondes à la place d'un chien de 10 ans qui vient de passer sa vie avec son maitre et qui se retrouve au milieu de nul part, avec d'autres chiens parfois, il faut le dire, aglutinés les uns contre les autres tellement le manque de place est important, ou tellement le nombre d'abandon croit. Mettez vous à la place de ce chien que des gens ne remarquent à peine car il ne paye pas de mine ou qu'il est tout simplement trop vieux. Ca vous donne faim vous ? Bon, et puis après avoir assisté à la collecte alimentaire, j'vous assure qu'ils vont pas mourir de faim !!
- Les vieux chiens sont tous piqués ! A Sainte Appoline, il y a un chien de 17 ans, un autre de 15 je crois, et pas mal qui dépassent la dizaine. Bon, le chien de 17 ans a été adopté par un bénévole, mais cela n'empêche qu'il passe sa vie au refuge pour ne pas le brusquer par un changement d'habitat. Les différents refuges ont le choix entre prendre des vieux chiens ou non, et des transferts existent entre ces mêmes SPA. Quel serait l'intérêt de prendre des chiens si c'est pour les piquer ? Bien sur, il n'est pas impossible de tomber face à un cas où la maladie n'est plus gérable et où l'animal ne sera apaisé que par ce biais. Mais sincèrement, j'ai vu un véto piquer pour moins que ça...
- Il n'y a pas de chiots ni de pur races. On n'a pas le même choix qu'ailleurs. Celui qui dit ça n'a pas du beaucoup se rendre en SPA. Il n'est pas rare de voir des portées entières débarquer à la SPA, tout comme il n'est pas rare de voir pas mal de races victimes de leur propre succès. A une période, c'était les huskys, maintenant, se sont les labradors et les goldens. Et je dois bien dire qu'à chaque fois que j'y suis allée, j'ai craqué sur la beauté de certains chiens croisés. Mais mon avis reste bien subjectif...
- Les chiens de la SPA ont déjà eu une histoire, on ne leur apportera pas autant qu'à un chien qu'on prend à l'âge de chiot/chaton... Non, c'est sur, je dirais même que vous leur apporterez sûrement bien plus que ce qu'ils ont déjà eu l'occasion de connaître. Quand un animal a vécu les pires horreurs durant le début de sa vie, il ne pourra que vous être reconnaissant de cette "nouvelle chance" que vous lui donnez. Et encore, si avoir un chien de 10 ans qui a déjà eu toute une vie vous dérange, vous pouvez toujours porter votre choix sur des chiots, car il y en a.
- ... what else ?


Au passage, j'en profite pour vous dire que ce week-end, c'est les journées portes ouvertes de la SPA de plaisir-Sainte Appoline. Même pas obligé d'adopter, vous pouvez participer à la tombola, et le dimanche aprem, Yann Arthus Bertrand sera présent.
Si vous y passez, je serai présente le dimanche aprem.

Depuis quelques temps, je m'intéresse au "terrorisme écologique". Oh non, ne vous inquiétez pas, votre rédactrice environnementale en chef n'est pas en danger, et ces articles, bien que rares, ne sont pas menacés... [Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre...]
Non, pour vous expliquer un peu plus mon point de vue, j'estime que toute personne étant en droit de penser à forcément des opinions, et que ces opinions sont forcément fondés. Certes, j'aimerais sauver le monde [mouahahah je suis d'humeur rieuse ce soir], mais avant de me lancer dans une aventure folle à la Bruce Willis, j'aime aussi connaître le bien fondé de chaque pensée des gens, et ainsi comprendre pourquoi certains pensent certaines choses... Bref, tout ça pour dire que, selon moi, quand on se sent impliqué dans l'environnement, on ne peut pas foncer tête baisser en pensant faire ce qui est le mieux pour la planète sans se soucier de l'impact que cela aura sur d'autres. Qu'est-ce que le "terrorisme écologique" vient foutre là-dedans ? Oh, ben, j'me dis que si des gens sont allés jusqu'à créer des organisations pour servir ces termes, ils ont sûrement de bonnes raisons. Et qu'est-ce que vient foutre le titre là-dedans ? Ben, en faisant mon petit Green Quizz journalier, j'ai découvert ce mouvement, rien de terroriste en fait, mais le nom a fait mouche et m'a intrigué, voire même amusé...

Le mouvement pour l'extinction volontaire de l'humanité n'est pas une organisation de kamikazes volontaires qui vont se faire sauter dans le premier fast food qui vient, le tout en plein rush, dans le but d'emporter avec eux un maximum de personnes servant la cause de la mal-bouffe et tout ce qui se cache derrière. De même, ce n'est pas non plus un mouvement organisant des suicides collectifs dans de sordides manoirs... Parait même qu'ils ne se réjouissent pas quand un catastrophe plus ou moins pas naturelle frappe une partie du monde... ou plutôt de l'Humanité...
C'est simplement un groupe de personne qui a décidé que la pilule contraceptive et autres moyens de contraception étaient les meilleurs moyens pour enrayer le problème de l'impact de l'humanité sur la Terre. En bref, Ils ont décidé de ne plus faire de gosses...
Pour être plus précis, ça serait comme des chinois écolos, je sais, la comparaison est difficile à imaginer, surtout quand on sort des JO, mais c'est comme ça que j'appelle le prônage de l'enfant unique ou le pas prônage du tout sous prétexte que la démographie humaine est la pression la plus importante que l'Humain exerce sur notre belle bleue !
J'ai l'air méchante en parlant d'eux ? Ben en fait, ils sont un peu descendus dans mon estime quand j'ai lu que la plupart d'entre eux avaient déjà des gosses, et donc, que pour eux, c'était facile de dire que les autres ne devaient pas en faire, à moins qu'ils soient aptes à endosser l'entière responsabilité de ce que représente le pack enfant+éducation au développement durable dans le seul but de pouvoir laver les mains des aïeuls ayant eux-mêmes salis les draps de leur descendance... le tout sous peine de faire un rejeton "contre-productif".

Alors, il est vrai que la population mondiale augmente chaque jour de 200 000 millions de personnes et qu'elle a plus que doublé en 50 ans... tout aussi vrai que le taux d'extinction des espèces présente sur la planète est près de 1000 fois supérieur à la moyenne des millénaires précédents [inutile de vous dire laquelle de toutes profite de ce triste coup du sort].
Certains pensent que l'Homme est le plus important, sur Terre, se sont peut-être ces mêmes personnes qui pensent être les seules présentes dans l'Univers, mais le débat n'est pas là. Si on devait se baser sur une des théories de l'intelligence comme quoi celle-ci réside dans l'espèce qui vit le plus longtemps, alors on est franchement moisis, n'ayant même pas été foutu de nous adapter à notre environnement. Pareillement, si on prend en compte le fait que celui qui se base le plus haut dans la chaîne alimentaire est le plus inutile, alors... je ne donne pas chère de notre peau dans une partie de Mikados entre les plus Puissants. De même, si on se base par rapport aux autres espèces pour voir de quelles natures proviennent nos interactions, on se rend compte que ni le mutualisme, ni le commensalisme ne font partis de la liste, et que donc, il ne reste plus que le parasitisme [pour les plus réfractaires à cette idée : on dépend de quoi ? on apporte quoi ?]

Mais, dans tout ça, où pourrait être le bon. Je ne prône pas l'extinction de l'Homme, mais il faut être stupide pour ne pas admettre que nous avons un impact... j'arrive pas à trouver d'adjectif assez fort pour exprimer l'impact que nous avons sur la Terre. Clairement, l'Humanité prend trop de place, selon moi, mais de là à dire que nous devons disparaître... je trouve ça trop facile... pour la simple et bonne raison que nous avons foutu la merde, et que c'est à nous de la nettoyer.

Pour vous amuser un peu, et parce que je me doute que vous ne cliquerez pas sur les liens, voilà des trucs tirés de leur site pour savoir où vous vous trouvez...

Le but de ce "jeu", c'est de tester votre "implication environnementale"... lorsque vous n'êtes plus d'accord avec les lettres, vous arrêtez de descendre.

Le clan du néon, peut-être les connaissez-vous déjà, peut-être les avez-vous déjà vu, à la télé ou dans la rue, ou peut-être en faites-vous partie d'ailleurs. Mais pour les autres, c'est quoi ?
Le clan du néon, c'est des monsieurs et madames tout le monde, à la différence près qu'ils et elles en ont marre de voir cette pollution lumineuse la nuit, et qui décident tout simplement d'en éteindre une partie, c'est-à-dire les enseignes des commerces restées allumées la nuit.
Comment ? Rien de plus simple en fait. Je pourrais simplement vous envoyer sur leur blog, où vous pourrez d'ailleurs y voir tout un tas de compte rendu de leurs actions. Mais je vais quand même faire un bref résumé ici...
Tout d'abord, rien de mieux qu'une vidéo pour montrer comment faire !

Le matériel ?
On retiendra surtout la nécessité des gants pour ne pas se salir les mains, et des chaussures montantes pour ne pas se fouler les chevilles.
Il est aussi utile d'avoir une perche pour pouvoir atteindre les interrupteurs les plus hauts.

Bon, jusqu'ici, je me suis contentée de faire un pâle copié collé de ce qu'on pouvait trouver sur le blog, mais concrètement, ça sert à quoi, d'éteindre les lumières ? Après tout, certains pourraient s'offusquer en disant que sans la lumière des commerces, on se vautrerait tous sur les trottoirs, mais rassurez-vous, on a eu beau l'oublier à force d'être éblouis par tant de luminosité, mais les lampadaires sont fais pour ça... ! D'autres encore pourraient dire qu'éteindre la lumière des commerces pourraient nuire à leur chiffre d'affaire ; mais là encore, éteindre des néons ne signifie pas péter une enseigne ou encore éteindre des vitrines qui, rappelons le, sont bien souvent elles aussi allumées. Et en plus, une étude a été menée, celle-ci prouvant que les commerces éteignant leur enseigne ne faisaient pas moins de chiffre d'affaire que ceux le laissant allumé. Et franchement, à 2h du mat', y'a qui, dans la rue, à part des fêtards dans un état plus ou moins apte à retenir le nom d'une enseigne ou des chats ?
Bref, maintenant que les mal entendus sont réglés, attardons nous un peu sur le bénéfice environnemental que ce "On y tient, on éteint" apporte. Je ne m'étendrai pas sur les économies financières que génère ce geste, simplement sur le fait que laisser la lumière allumée rime tout simplement avec "consommation d'énergie nucléaire". Et alors que la France se prône poubelle nucléaire de l'Europe, je pense qu'il est important de rappeler les dangers du nucléaire. Voilà un dossier nucléaire pour ceux qui ont 34 pages à lire, mais je vais quand même faire un bref résumé de la situation...
Dans de nombreux pays, l'électricité est produite par des combustibles fossiles, rejetant ainsi une quantité plus que considérable de gaz à effets de serre [1,2 milliards de tonne de CO2/an émis par l'Union Européenne, selon Greenpeace].
En France, ça ne se passe pas exactement comme ça, puisque l'énergie est produite par des centrales nucléaires. Cependant, non seulement les réserves d'uranium vont s'épuiser d'ici environ 65 ans, mais en plus, les déchets radioactifs émis ne peuvent être détruits, transformés, réutilisés, et sont tout simplement enterrés... pour autant de temps qu'ils sont radioactifs, soit pour des centaines de milliers d'années. On sait tous les dégâts qu'a causé la centrale de Tchernobyl, qu'arriverait-il en cas de séisme où les stocks souterrains de déchets RA pourraient être brisés et "lâchés en pleine nature". Inutile de vous faire un dessin...
Je sais, je me suis égarée, et c'est pas en éteignant des néons qu'on règlera le problème du nucléaire, mais si tout le monde avait conscience de cela en voyant des bonhommes à perruques se balader avec des perches dans les mains en quête de lumière intempestive, je crois qu'on ferait tous plus attention à l'extinction de notre lumière de bureau ou de celle de la salle de bain en la quittant...

P.S : Pour en rajouter un peu sur la nécessité de ces actions, voilà une proposition de loi qui a été faite... comme quoi !