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D'ici quelques jours je pars en VDI, des Vacances à Durée Indéterminée : Avec mon copain, on part en Bretagne lundi, mais on ne sait pas encore quand on rentre...

Une seule chose de programmée, le festival du Bout du Monde. Du reste, on fera au feeling. J'ai quelques endroits que j'ai envie de voir, si vous connaissez la Bretagne et que vous avez des endroits à me conseiller, je suis preneur ! Moi, c'est la première fois que j'y vais !

Bon, du coup, vous l'avez compris, entre le départ à préparer et le départ tout court, Août sera un mois mort pour le blog !

Image piquée ici.
 

Déjà, c'était beaucoup plus petit que ce à quoi je m'attendais. C'était en fait dans l'aquarium même, qui est lui-même relativement petit. Du coup, j'étais un peu déçue par ce manque de consistance.
Mais on comprend vite pourquoi l'expo est si petite, et on les pardonne, car les requins, raies et chimères sont des espèces cartilagineuses... et si des fossiles osseux, on arrive à en trouver, des fossiles de cartilage, c'est tout de suite beaucoup plus difficile, je pense même qu'on peut dire que ça relève d'une grande chance !
Et en ce qui concerne la collection de fossile, les organisateurs de l'exposition ne se sont pas foutus de nous ! Entre le crâne du Placoderme [datant de 400 millions d'années], l'empreinte d'un Hybodus [mort il y a 190 millions d'années], le cerveau fossile d'une chimère [datant de 300 millions d'année, c'est d'ailleurs le premier cerveau fossilisé jamais découvert, le tout en 2009, photo à gauche], la mâchoire d'un Mégalodon haute de 2m [dont l'animal s'est éteint il y a seulement 2 millions d'années, et représentant le plus grand prédateur marin de tous les temps, photo à droite] et j'en passe, il y a de quoi s'émerveiller !
Passé ça, une belle collection d'animaux "taxidermisés" nous apprend à distinguer différentes espèces de chimères, raies et requins.

Pour ce qui est de la thématique concernant la menace qui pèse sur les requins aujourd'hui, un film très détaillé vous dit tout. Il date un peu, 2008, certaines choses ont changé depuis, mais presque rien alors on n'y fera pas attention... Les images peuvent cependant choquer, mais comme c'est une réalité, je crois qu'il est important d'en prendre conscience.
J'ai été tout de même déçue de voir des extraits d'Océans alors que rien n'était communiqué sur un film incontournable si on parle requin : Les seigneurs de la Mer [que je vous invite à voir d'ailleurs si ça n'est pas déjà fais].

Mon autre déception concerne la partie vivante de l'exposition... En effet, les 3 ou 4 requins de l'aquarium ne sont pas du tout mis en valeur. Non pas que j'aime admirer des animaux en cage [ou en aquarium, ici, c'est la même chose], bien au contraire, mais si justement ils passen quasiment inaperçus, que font-ils là ?
Cette exposition montre parfaitement qu'on peut communiquer un sujet sur une thématique faunique, sans pour autant montrer les animaux eux-mêmes. Oui, si je ne les avais pas vu, je ne m'en serai portée que mieux !

Que se soit pour distraire, instruire ou communiquer, je persiste à penser que des animaux vivants n'ont rien à faire dans des cages ou des aquariums. Le nouveau défit est de savoir faire sans. Et il existe plusieurs solutions. Cette exposition en montre une.
Je me souviens de cours que j'avais pris à la réserve de Saint Quentin, où le triton crêté, une espèce menacée, était présente, et où les organisateurs communiquaient à son propos à travers des jeux de rôle très ludiques où les enfants apprenaient tout en s'amusant. Il y a également les centres de soin... Je dévie du sujet, mais je crois que c'est important de le rappeler !

Forcément, ici, je parle des requins, mais finalement, ma pensée est pour tous les poissons, reptiles, crustacés, mollusques etc. qui sont présents dans cet aquarium...

Il n'y a pas que des mauvaises nouvelles dans la catégorie des espèces au bord de l'extinction. C'est le cas du Loris grêle des Plaines d'Horton, un petit primate mangeur d'insectes, aux moeurs noctures, dont la particularité est la sécrétion de toxines [un des rares mammifères et le seul primate à en être capable !].
Seulement voilà, des loris grêles, ça faisait belle lurette qu'on en avait pas vu ! A tel point que la société zoologique de Londres avait lancé un programme de recherche et d'identification des espèces les plus rares et les plus menacées sur la planète, nommé EDGE [Évolutionnairement distinctes et internationalement menacées].
Le Loris grêle fait ainsi partie d'une liste de 100 espèces menacées et possédant des caractéristiques distinctes.

Mais voilà, alors qu'il n'avait été vu que 4 fois depuis 1937, et qu'on n'en trouvait plus aucune trace depuis 2002, le Loris grêle semble avoir refait surface en étant photographié par un des chercheurs de la dite société zoologique de Londres.

C'est donc un mâle, d'une vingtaine de centimètre, qui a été photographié fin 2009 dans les forêts des montagnes du centre du Sri Lanka.

365 Gestes pour sauver la planète, c'est le titre d'un pavé qui trône sur mon étagère depuis maintenant plusieurs années. Le concept, un geste par jour, de quoi se mettre à l'écologie en douceur, une fois par jour, même si c'est pas toujours réalisable, le tout accompagné d'une belle photo sur la page voisine !
C'est un concept vu et revu, je sais, mais l'idée est sympa, et en le regardant, j'ai pensé à vous !

Aujourd'hui, c'est le 27 juillet, et je ris en voyant le sujet qui me colle bien à la peau pour le coup !

"Des espèces de poissons menacées"
[Tiens, elle va encore nous faire chier avec son thon rouge...]
La consommation des produits de la pêche a augmenté de 240% depuis 1960. Mais aujourd'hui, 7% des stocks mondiaux de poissons de mer commercialisés sont exploités à leur maximum, 15% sont surexploités, 10% sont épuisés ou repeuplement lent. C'est le cas de la zone de Terre-Neuve, où les stocks de cabillaud (morue) peinent à se reconstituer malgré le moratoire sur la pêche. Il est vrai qu'en une heure, un navire-usine peut remonter autant de morues qu'un bateau typique du XVIe siècle n'en ramenait à terre en une saison. C'est ainsi que des espèces autrefois abondantes sont devenues rares.

Le geste : Surveillez votre consommation de thon rouge, morue, merlu, baudroie, sole, saumon de l'Atlantique, lieu noir, hareng... ils font tous partie des espèces menacées.

P.S : Donnez moi votre jour de naissance et je dirai quelle action vous correspond !

Le bal des cahiers, angenda, stylos, classeurs et feuilles va bientôt commencer. Les écoliers et étudiants vont bientôt affluer dans les grandes surfaces pour être parés aux matières qui les attendent en septembre, ou octobre pour les plus chanceux !

Oui, je me souviens de cette époque. J'adorais acheter mes fournitures scolaires... La première chose que j'achetais, c'était mon agenda, choisi et minutieusement customisé !
Aujourd'hui, j'hésite encore à en acheter un, tant celui de l'année dernière ne m'a servi à rien !
Mais là n'est pas la question !

La rentrée des classes, c'est également synonymes de feuilles et arbres coupés, alors lorsque vous achetez vos fournitures, pensez à prendre des produits recyclés...

L'agenda.
Il existe plusieurs possibilités pour votre futur angenda. Celui que j'ai failli acheté est un des modèles ci-contre, entièrement fait en papier recyclé. Il y a des pages environnement conseils, de quoi vous occuper pendant les cours chiants, et forcément, un page par jour, au cas où, contrairement à moi, vous avez beaucoup de devoirs !
Ils coutent moins de 7€ (5.99 à Cultura, 6.95€ sur un site internet), ce qui les rendent moins chères que d'autres agendas pouvant atteindre 8 ou 9€.

Il existe également des agendas recyclés à base de pneus ou autres matières.

Dans tous les cas, assurez vous que l'agenda que vous souhaitez acheter est certifié gestion durable des forêts, comme le label PEFC, il en existe plusieurs.
Ainsi le label FSC signifie que le bois coupé provient de forêts gérées de manières durables. Il existe également "Paper by Nature", "Imprim'vert", "Procédé sans chlore"

Pour finir, quitte à avoir un agenda nature, éviter les agendas type Ushuaïa, qui n'ont de naturels que le sujet de la photo et qui ne contribuent en rien à la sauvegarde de la planète et au maintien de la biodiversité.

Le papier/Les cahiers.
Là encore, je vais me répéter. Il existe toute sorte de cahiers recyclés, aux designs aussi divers que variés, photos de dauphins, couverture en bois FSC, designs futuristes.
De même, il existe, en toutes marques, des copies simples ou doubles recyclées.


Les classeurs, intercalaires et trieurs.
Vous l'avez compris, l'histoire se répète sans fin pour toutes sortes de produits, le tout est d'avoir l'oeil et de se renseigner au bon endroit. Les prix ne sont pas forcément plus chères, parfois même ils le sont moins que pour certains produits.
Vous pourrez même trouver des intercalaires en polypropylène recyclé, afin de garantir une bonne résistance.



Stylos et autres.
Stylos plumes, crayons à papiers, crayons à mine, stylos bic, marqueurs... Tous les modèles existent dans de beaux designs, en bois FSC, en papier recyclé, en amidon de maïs, ... Le tout, évidemment, rechargeable afin de rester dans l'optique de la durabilité des produits.




Avec tout ça, vous êtes parés pour une rentrée durable et en phase avec la nature, alors pensez à faire les bons choix. Vous avez sur les images un des sites vendant ce type de produit. Vous en trouverez également en magasin...

Attention cependant à ce logo qui ne signifie en rien l'origine recyclé des matériaux, mais que l'entreprise paie une contribution à l'éco-emballage. Ce logo ne veut donc pas dire que le produit est recyclable ou recyclé.